Glossaire RIFF - initiale "A"

Comparer avec B2C, CRM, ERM.

Cette pratique est particulièrement répandue dans l'univers des jeux vidéo, en particulier pour les jeux destinés aux anciennes plateformes dont la commercialisation a cessé, les fans de ces plateformes cherchant à obtenir encore de quoi alimenter leur machine, et l'éditeur autorisant parfois la copie, ou fermant les yeux jusqu'à nouvel ordre. Compte tenu de l'abandon de droits associé à cette pratique, les éditeurs plaçant réellement leurs logiciels en abandonware existent mais sont rares. La plupart des grands éditeurs ont une position ferme sur le sujet, rappelant qu'aucun de leurs produits, même obsolète, n'appartient à cette catégorie.

Dans tous les cas, même en cas d'un abandonware officiel, le logiciel demeure commercial et les droits de propriété intellectuelle ceux de l'éditeur. C'est une demi-mesure par rapport à un placement dans le domaine public. Voir freeware.

Comparer avec absolute player, infomédiaire.

Atomicité

Cette propriété garantit qu'une série d'opérations (une "transaction") est exécutée soit en totalité soit pas du tout

Cohérence

Cette propriété garantit que toute modification fait évoluer la base d'un état cohérent à un autre état cohérent, en respectant l'intégralité des contraintes d'intégrité, y compris les contraintes référentielles

Isolation

Cette propriété garantie qu'aucune transaction en cours n'est affectée par une quelconque transaction non encore validée, même si certaines des opérations qui la composent sont déjà validées séparément

Durabilité (rémanence)

Cette propriété, qui ne peut jamais être absolue du fait des risques de destruction matérielle des supports d'information, garantit que les résultats d'une transaction une fois validée sont permanents, y compris en cas de destruction de parties du matériel non affectées au stockage des données de la base.

Les grands SGBD du marché, Oracle en tête (Informix, Sybase, Ingres, MS SQL), respectent globablement ces critères. Certains SGBD mineurs ou Open Source également, comme Interbase 6.0 ou PostgreSQL. D'autres, comme MySQL ou MSQL, font l'impasse sur certaines de ces propriétés en visant d'autres objectifs comme la simplicité ou les performances.

Cet acronyme est légèrement ironique : on trouve régulièrement "the ACID test" à propos de l'évaluation d'un SGBD, ce qui fait référence au test des métaux précieux à l'acide pour détecter les faux. L'absence de l'une des propriétés ACID (cas notamment de mSQL et MySQL) est ainsi située dans le discours comme signe d'un faux SGBD. Voir SGBD, MySQL.

Voir ADAM. Comparer avec NDS.

Voir modem, ACS. Comparer avec AA.

Voir Active Directory. Comparer avec NDS

Voir requête de page, page

Il fut créé par une équipe française en réponse à un appel d'offres du gouvernement étatsunien pour définir un langage universel, devant être obligatoire pour tous les développements spécifiques qu'il ferait réaliser ultérieurement.

La complexité élevée du langage par rapport aux machines de son époque et le marché particulier qu'il visait ont fait qu'il n'a jamais connu un succès considérable hors des marchés techniques (matériels militaires, avionique).

Voir Active Directory.

Domaine : Informatique/Internet.
Définition : Personne chargée de la maintenance et du suivi d'un site ou d'un serveur sur la toile d'araignée mondiale.
Voir toile d'araignée mondiale.
Équivalent étranger : webmaster

Domaine : Télécommunications/Internet.
Voir adresse universelle.

Domaine : Télécommunications/Internet.
Synonyme : adresse réticulaire.
Définition : Dénomination unique à caractère universel qui permet de localiser une ressource ou un document sur l'internet, et qui indique la méthode pour y accéder, le nom du serveur et le chemin à l'intérieur du serveur.
Note : Par exemple, l'adresse universelle de la page d'accueil de la Délégation générale à la langue française est "http://www.culture.gouv.fr/culture/dglf/accueil.htm ". Elle comprend trois parties : " http " indique la méthode d'accès ; " www.culture.gouv.fr " est le nom du serveur du ministère de la culture et de la communication en France sur la toile d'araignée mondiale ; " culture/dglf/accueil.htm " est le chemin d'accès au document.
Voir domaine, internet, page d'accueil, système d'adressage par domaines.
Équivalent étranger : uniform resource locator, universal resource locator, URL.

Domaine : Télécommunications - Informatique.
Définition : Désignation conventionnelle permettant l'identification d'un utilisateur du courrier électronique et l'acheminement des messages qui lui sont destinés.
Note : 1. L'adresse de courrier électronique peut être constituée des éléments suivants. Dans l'ordre : le nom de l'utilisateur ; le symbole séparateur @, dit « a commercial » ; la désignation de l'ordinateur hôte ; le domaine et, éventuellement, un ou plusieurs sous-domaines (domaines et sous-domaines correspondent soit au pays, soit au type d'organisme).
2. Le symbole : Mél., pour « messagerie électronique », peut figurer devant l'adresse électronique sur un document (papier à lettres ou carte de visite, par exemple), tout comme Tél. devant le numéro de téléphone. « Mél. » ne doit pas être employé comme substantif.
Équivalent étranger : E-mail address, E-mail.

Anecdotiquement, le texte du Journal Officiel indique par erreur le 0 comme séparateur au lieu de l'arobase. De manière plus grave, la définition de la Commission fait abstraction de la politique officielle européenne en matière de courrier électronique, construite sur X.400 et les adresses X.121 depuis la fin des années 80, au profit d'une description restrictive et incomplète d'adresses SMTP : les syntaxes de relais par d'autres MTA (UUCP notamment) ne sont pas prises en compte.

Définition du CESP Logiciel de gestion de campagne - de la programmation des objets publicitaires jusqu'au suivi statistique en ligne - . Cette gestion s'effectue indépendamment de celle des pages éditoriales. Le serveur de publicité permet l'insertion dynamique d'objets publicitaires (actuellement le plus souvent des bannières ou bandeaux publicitaires) dans les espaces prévus sur les pages éditoriales. Il offre également des possibilités de ciblage.

Voir capping

1. Attack : intervalle de temps débutant à l'appui sur une touche et se terminant peu après. Un synthétiseur permet typiquement de régler cet intervalle
2. Decay : intervalle de temps débutant à la fin de l'intervalle d'attaque et correspondant à l'amortissement progressif du signal.
3. Sustain : phase durant laquelle l'amplitude de l'enveloppe reste constante après la fin de l'intervalle de Decay, jusqu'au relâchement de la touche
4. Release : délai de transition entre le niveau au moment du relâchement de touche (Niveau en cours sur l'Attack ou le Decay ou niveau de Sustain si le Decay est terminé), et la réduction à néant de l'amplitude de l'enveloppe

Voir VCA, VCF, VCO.

Pierre angulaire des fonctions GED / COLD de l'offre IBM, AFP est supporté sur l'ensemble des systèmes d'exploitation du constructeur, gère des formats de flux d'impression multiples, parmi lesquels ASCII, IPDS, PCL, PPDS, Postscript,TeX. Voir GED, COLD, ASCII, IPDS, PCL, PPDS, Postscript, TeX.

Par exemple, si un serveur agile reçoit successivement une requête lourde (complexe à calculer, gros jeu de résultats) et une requête légère avant d'avoir fini de répondre à la première, il pourra renvoyer le jeu de résultats de la seconde tout en continuant à traiter la première, alors qu'un serveur non agile l'aurait traité dans l'ordre d'arrivée. L'utilisation de serveurs agiles permet donc d'améliorer les performances ses sites Web en servant rapidement les requêtes simples même en présence de requêtes complexes.

Dans un environnement COM/IIS, un objet peut être rendu agile par l'agrégation d'un distributeur free-threaded (free-threaded marshaler) : lorsqu'un pointeur d'interface est passé entre deux appartements, le distributeur free-threaded est en mesure de fournir un pointeur sur l'objet, et non un accès par mandataire, plus lent. Voir COM, IIS.

Voir marché gris.

Comme le RIFF de Microsoft et IBM, il utilise le mécanisme FOURCC d'identification de format pour les fichiers ou fragments multimédia

Voir IFF, FOURCC. Comparer avec RIFF.

Les bandes AIT 2 et AIT 3 existent en versions "WORM" garantissant l'impossibilité de réécriture pour éviter les effacements intempestifs. Début 2004, cette fonctionnalité est annoncée pour les AIT-4 dont le lancement est prévu en milieu d'année

Toutes les générations d'AIT utilisent des revêtements magnétiques de type AME. Voir AME, MIC, WORM. Comparer avec S-AIT.

Altavista était au départ une branche de DEC, devenue indépendante par la suite.

Ce logiciel représente la référence de compatibilité pour les normes concernées, mais ne présente aucune des facilités usuelles des browsers du secteur commercial à la même époque. Il est principalement utilisé par les créateurs de site non-designers, soucieux de contenu normalisé en vue d'une exploitation automatisée future. Voir HTML, XML, CSS, XHTML, MathML, SVG, PNG.

1. revêtement arrière (back coat)
2. base
3. couche magnétique. Dans les premières générations de bandes à métal évaporé, cette couche était un alliage ferro-nickel, mais dans les bandes AME, il s'agit de cobalt pur
4. film de protection en DLC
5. lubrifiant

Comparer avec MP++. Voir AIT, DLC.

Comparer avec xor, or, nand.

Après l'insuccès commercial prolongé de cette spécification devenue par la suite XANDF, c'est à la fin des années 90 que la technologie Java a dans une large mesure permis d'atteindre les objectifs que s'était fixés l'OSF avec ANDF.

Selon certains commentateurs, l'échec d'ANDF venant après le demi-échec du DME et l'échec commercial d'OSF/1 a signé la fin de l'OSF, qui fusionne en 1996 avec X/Open pour devenir The Open Group.

Le premier annuaire commercial opérationnel fut Streetalk à la fin des années 80, trop en avance sur son temps pour le marché, suivi de NDS durant les années 90.

En 2000, LDAP semble s'imposer comme la norme de fait en matière d'annuaires, après des décennies d'études et solutions propriétaires. Le produit qui semble appelé à la plus grande part de marché durant cette décennie est ActiveDirectory.

Domaine : Télécommunications/Internet.
Voir système d'adressage par domaines.

Noter la différence avec l'utilisation d'un langage informatique usuel comme C/C++ ou Pascal, dans lequel ce code calculerait en fait l'expression (2 + 3) * (5 ^7) par le jeu des priorités, alors qu'AOS est strictement évaluée de gauche à droite.

Cette notation présente l'inconvénient, par l'usage explicite de parenthèses, de ressembler considérablement à l'expression manuscrite des formules. Elle présente l'inconvénient de nécessiter l'utilisation de ces parenthèses, plus souvent source de confusion que l'utilisation d'une pile comme c'est le cas avec la notation inverse (postfixée). Cette dernière est dénommée "notation polonaise inversée", ou "RPN". Voir notation polonaise inversée.

L'expansion correspond à la prononciation US du mot Apache: "e-patchi".

Dérivé de ses travaux sur une notation compacte pour les opérations, il utilise "normalement" pour ses opérateurs un alphabet spécifique, largement composé d'un mélange de symboles grecs et mathématiques.

Les versions micro d'APL (voir "J"), et notamment sur Win32, utilisent aujourd'hui une notation moins compacte que les symboles initiaux, mais beaucoup plus lisible.

Bien que ce ne soit pas une position couramment admise car elle va à l'encontre du mythe Smalltalk, il est raisonnable de considérer qu'un terminal APL sur grand système représente la première approximation d'une station de travail, avec l'interactivité en continu et l'accès pour un utilisateur à toute la puissance d'un grand système. La consommation en ressources système d'APL est considérable, et l'interaction directe avec un seul utilisateur final suffisait à drainer les ressources d'un mini-ordinateur jusqu'à la fin des années 80.

Ses principales familles de modèles ont été:

• Apple I - prototype non commercialisé
• Apple II - micro-ordinateur 8 bits extensible, qui a lancé la société
• Apple III - version étendue de l'Apple II, destinée aux marchés de la gestion, demi-échec
• Lisa - station de travail graphique monochrome à CPU 68000, inspirée des travaux du parc, échec total en raison d'un prix excessif et de l'inadéquation des exigences d'une interface graphique avec les ressources d'un micro-ordinateur de l'époque (vers 1985)
• Apple II GS - micro-ordinateur 16 bits incorporant intégralement les capacités de la famille Apple II pour bénéficier de sa logithèque.
• Macintosh - micro-ordinateur monobloc monochrome à CPU 68000, le deuxième grand succès d'Apple, qui a relancé la firme
• Macintosh II - micro-ordinateur de bureau, CPU 68020,
• Power Macintosh, G3, G4 - micro-ordinateurs Risc PowerPC

Voir Jobs, Steve, NeXT.

Domaine : Informatique/Internet.
Définition : Petite application indépendante du matériel et du logiciel utilisés, qui est téléchargée depuis un serveur de la toile mondiale et qui est exécutée localement au sein d'un logiciel de navigation.
Note : Les appliquettes sont surtout employées dans le langage de programmation Java.
Voir Voir JNLP, sandbox.

Voir Luna, Carbon, Cocoa. Comparer avec Luna, Avalon.

L'opération d'archivage répond à deux préoccupations :

• sécurisation "définitive" de données stabilisées (fin d'un projet)
• libération d'espace dans les niveaux les plus rapides et les plus coûteux d'une hiérarchie de stockage

Voir HSM.

L'architecture d'ARCNET a inspiré la plupart des autres architectures ultérieures, dont Ethernet.

La part de marché d'ARCNET dans l'équipement de bureaux est devenue insignifiante au cours des années 1990, mais cette technologie joue un rôle majeure dans les systèmes de contrôle invisibles, du fait de performances déterministes et de capacités en matière de distance.

Au début des années 2000, ARCNET est principalement installé dans les voitures, systèmes d'automatismes industriels, jeux de casino, et climatisation. Le parc installé est évalué à 8 millions de noeuds fin 2000. Voir ATA, BAIL, RIM.

Domaine : Informatique/Internet.
Synonyme : contribution n. f.
Définition : Document similaire à un message électronique, destiné à alimenter un ou plusieurs forums.
Voir forum.
Équivalent étranger : news item, news posting, news article.

• 1995-12/1996 - Option Red - Intel Touchstone Delta - 1 Teraops
• 1996-1999 - Option Blue (1 SGI-Cray + 1 IBM) - 3.2 Teraops
• 2000 - Option White (Cluster IBM RS/6000 SP de 8000 noeuds) - 10 Teraops
• En prévision - 30, puis 100 Teraops

On trouve également l'expansion "Advanced Strategic Computing Initiative". Comparer avec blue gene. Voir Tri-Labs, Delta.

Le code ASCII (prononcer "ask-key", soit "demander la touche" en américain), est le code minimal commun à la plupart des systèmes micro- et mini-informatiques. Il se compose de 96 caractères numérotés de 32 à 127 comprenant les lettres majuscules et minuscules, les chiffres, et les caractères et diacritiques les plus courants. On y ajoute généralement 32 codes de contrôle nommés, numérotés de 0 à 31, utilisés principalement pour des fonctions de contrôle: délimitation de ligne, de page, etc. Voir ANSI, ASCII international.

Créé en 02/1995 par 8 webmestres pour mettre en commun leurs efforts pour corriger le serveur historique httpd du NCSA.

En comparaison avec le modèle standard de pilotes WDM, ASIO, création de Steinberg utilisée par la plus grande partie des constructeurs et éditeurs, permet l'utilisation de périphériques audio beaucoup plus évolués, notamment pour l'enregistrement temps réel multicanaux, en maintenant la latence audio à des niveaux considérablement inférieurs à ceux des pilotes WDM pour les mêmes cartes: il est courant de passer de 200ms de latence en WDM à moins de 10ms de latence en ASIO sur la même carte.

Comparer avec WDM, WDF.

La diminution de la vitesse d'écriture sur la bande en cas d'alimentation en données insuffisamment rapide par la machine sauvegarde peut accroître les performances globales de sauvegarde et diminuer le vieillissement mécanique des supports en évitant les arrêts et redémarrages qui surviennent sur les lecteurs sans ce mécanisme et qui sont plus pénalisants que le ralentissement.

Par rapport au format BabyAT, l'ATX se reconnaît principalement à :

• la rotation de 90° de la carte mère, sortant le processeur de l'alignement des cartes d'extension pour permettre la mise en place de cartes longues dans des chassis de format réduit
• un nouveau montage de l'alimentation électrique
• l'alllongement de la carte mère le long du boîtier, permettant l'inclusion directe en bord de carte de nombreux connecteurs de sortie: VGA, série, parallèle, USB, réseau, etc, réduisant ainsi le nombre de slots typiquement nécessaires en permettant l'intégration de composants plus nombreux directement sur la carte mère

La dernière version du facteur de forme ATX, la 2.1, a été spécifiée en 06/2002. Voir BTX.

Domaine : Télécommunications/Réseaux-Internet.
Définition : Structure constituée par des moyens de télécommunication et d'informatique interconnectés, qui permet d'offrir à un très grand nombre d'usagers de multiples services, en général à débit élevé, y compris des services audiovisuels.
Note : On rencontre aussi le terme " inforoute ", qui n'est pas recommandé.
Équivalent étranger : information highway (ang.), information superhighway (ang.), Infobahn n. f. (all.).

Remarque: bien que la CGTN déconseille le terme "inforoute", celui-ci est largement utilisé par des établissements publics en charge de la mise en place des projets gouvernementaux liés aux autoroutes de l'information.

Voir UCE, LDDM, DWM, DCE, GUI, XAML, WinFS, Indigo, Longhorn. Comparer avec Aqua, Luna.